Cet article a été relayé par plusieurs médias, nous en partageons l’analyse.
« Cher patron de Fakir (aussi patron de Merci Patron),
Pardonnez notre hardiesse, mais il est temps que nous parlions. On ne se connait pas mais nous avons eu maintes fois l’occasion de nous croiser lors de rassemblement sur Amiens. Permettez-nous donc de vous tutoyer, es-tu d’accord ? Nous sommes notamment venu.e.s ce fameux 12 mars où, à la suite de la sortie de ton film Merci Patron, nous nous réunissions pour faire enfin peur à nos dirigeant.e.s. Sache, cher François, que nous en avons marre d’être les bonnes betteraves de la farce ! Continuer la lecture