Cette année le spectacle familier des défilés du 1er mai se joue sur fond d’Arcelormittal, de PSA et, localement, de Goodyear.
Plutôt que de piocher parmi les thématiques habituelles types « rapports de hiérarchie au sein des syndicats », « surconsommation et obsolescence programmée », « crise systémique du capitalisme », il est peut-être temps de revenir à quelques fondamentaux, trop souvent refoulés, sur le travail, et les travailleurs. Continuer la lecture